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Le cours de dessin, pour enfants et adultes, a lieu le vendredi de 16 à 17 h ou de 17h15 à 18h15 par bloc d’une heure. Il se donne par groupe de 6 personnes maximum. Vous y venez de manière ponctuelle ou récurrente, au choix, et l’inscription se fait en ligne au coup par coup. Cette heure de dessin est une initiation ou un approfondissement.
Ce moment se veut un temps de tranquillité et met en avant le plaisir et la liberté que donnent cette pratique. Techniques du crayon, pastels, gravure, monotype, etc.
Prix : 8€
Je m’appelle Vero Vandegh, je suis artiste graveuse depuis 33 ans, diplômée d’aptitude pédagogique et artiste intervenant en pédiatrie depuis 18 ans.
Les techniques employées permettent d’apprendre le dessin d’observation, de développer la créativité et l’inspiration afin de profiter pleinement de la liberté offerte par cet art à la portée de tous.
A l’école, nous apprenons à lire et à écrire. Nous ne devenons pas tous écrivain mais nous en avons tous la possibilité.
De la même manière, le dessin s’apprend, ce n’est pas un don inaccessible.
Beaucoup de professeurs de dessin se sont cassés les méninges à essayer de comprendre pourquoi certains dessinent facilement et d’autres pas. Comment transmettre cette qualité de voir et de dessiner?
Dans les années 80, on a commencé à mettre en relation des études neurologiques sur le fonctionnement du cerveau et l’apprentissage du dessin.
A 15 ans, en secondaire, j’ai eu la chance de rencontrer des professeurs novateurs qui s’intéressaient à ces recherches et qui peu à peu mettaient au point de nouvelles techniques. Betty Edwards en parle très bien dans son livre « dessiner grâce au cerveau droit ».
J’ai appris et j’ai adoré apprendre.
Cela fait maintenant 40 ans que je dessine, je ne me suis jamais arrêtée et si j’ai une image qui me vient en tête, je peux m’y intéresser et me lancer dans un dessin sans stress et sans appréhension, avec plaisir même. Je sais d’où je pars : si une image me hante, c’est que j’ai quelque chose à en faire. Je ne sais jamais si l’idée de départ sera en rapport avec le résultat mais je sais maintenant qu’une idée est le départ d’un voyage. Et que c’est mon genre de voyage préféré.
Je rencontre encore beaucoup d’adultes et d’enfants qui ont cette frustration qui était la mienne et c’est avec plaisir que je les aide à la démonter.
Je m’appelle Vero Vandegh, je suis artiste graveuse depuis 33 ans, diplômée d’aptitude pédagogique et artiste intervenant en pédiatrie depuis 18 ans.
Les techniques employées permettent d’apprendre le dessin d’observation, de développer la créativité et l’inspiration afin de profiter pleinement de la liberté offerte par cet art à la portée de tous.
A l’école, nous apprenons à lire et à écrire. Nous ne devenons pas tous écrivain mais nous en avons tous la possibilité.
De la même manière, le dessin s’apprend, ce n’est pas un don inaccessible.
Beaucoup de professeurs de dessin se sont cassés les méninges à essayer de comprendre pourquoi certains dessinent facilement et d’autres pas. Comment transmettre cette qualité de voir et de dessiner?
Dans les années 80, on a commencé à mettre en relation des études neurologiques sur le fonctionnement du cerveau et l’apprentissage du dessin.
A 15 ans, en secondaire, j’ai eu la chance de rencontrer des professeurs novateurs qui s’intéressaient à ces recherches et qui peu à peu mettaient au point de nouvelles techniques. Betty Edwards en parle très bien dans son livre « dessiner grâce au cerveau droit ».
J’ai appris et j’ai adoré apprendre.
Cela fait maintenant 40 ans que je dessine, je ne me suis jamais arrêtée et si j’ai une image qui me vient en tête, je peux m’y intéresser et me lancer dans un dessin sans stress et sans appréhension, avec plaisir même. Je sais d’où je pars : si une image me hante, c’est que j’ai quelque chose à en faire. Je ne sais jamais si l’idée de départ sera en rapport avec le résultat mais je sais maintenant qu’une idée est le départ d’un voyage. Et que c’est mon genre de voyage préféré.
Je rencontre encore beaucoup d’adultes et d’enfants qui ont cette frustration qui était la mienne et c’est avec plaisir que je les aide à la démonter.
L’atelier collectif est une invitation pour les artistes confirmés à venir créer dans un même lieu, profitant de l’ambiance d’atelier, l’émulation positive et la concentration collective. Chaque participant y vient avec son projet personnel et son matériel. Il reste attentif à respecter une atmosphère propice à la concentration, chacun s’occupant de lui-même et de son art. Les inscriptions sont limitées à 6 participants pour permettre à tous d’avoir un espace de travail suffisant.
Il a lieu les vendredis de 10 à 16h et une semaine complète est programmée en juillet.
Pour participer à cet atelier, veuillez contacter l’asbl.
Je m’appelle Vero Vandegh, je suis artiste graveuse depuis 33 ans, diplômée d’aptitude pédagogique et artiste intervenant en pédiatrie depuis 18 ans.
Les techniques employées permettent d’apprendre le dessin d’observation, de développer la créativité et l’inspiration afin de profiter pleinement de la liberté offerte par cet art à la portée de tous.
A l’école, nous apprenons à lire et à écrire. Nous ne devenons pas tous écrivain mais nous en avons tous la possibilité.
De la même manière, le dessin s’apprend, ce n’est pas un don inaccessible.
Beaucoup de professeurs de dessin se sont cassés les méninges à essayer de comprendre pourquoi certains dessinent facilement et d’autres pas. Comment transmettre cette qualité de voir et de dessiner?
Dans les années 80, on a commencé à mettre en relation des études neurologiques sur le fonctionnement du cerveau et l’apprentissage du dessin.
A 15 ans, en secondaire, j’ai eu la chance de rencontrer des professeurs novateurs qui s’intéressaient à ces recherches et qui peu à peu mettaient au point de nouvelles techniques. Betty Edwards en parle très bien dans son livre « dessiner grâce au cerveau droit ».
J’ai appris et j’ai adoré apprendre.
Cela fait maintenant 40 ans que je dessine, je ne me suis jamais arrêtée et si j’ai une image qui me vient en tête, je peux m’y intéresser et me lancer dans un dessin sans stress et sans appréhension, avec plaisir même. Je sais d’où je pars : si une image me hante, c’est que j’ai quelque chose à en faire. Je ne sais jamais si l’idée de départ sera en rapport avec le résultat mais je sais maintenant qu’une idée est le départ d’un voyage. Et que c’est mon genre de voyage préféré.
Je rencontre encore beaucoup d’adultes et d’enfants qui ont cette frustration qui était la mienne et c’est avec plaisir que je les aide à la démonter.
Valérie, Esther, Catherine, Didier, Nina, Martine, Delphine, Nathalie, Nancy, Zakia, Christine, Silke, Camille, Annette, Guillaume, Françoise, Giovanni, Nils pour leurs participations.
Situé au rez de chaussée du 28a rue Victor Cuvelier à Écaussinnes depuis 2008, c’est l’atelier de Vero Vandegh, qu’elle partage volontiers avec les graveurs et graveuses de passage. La presse est l’outil majeur de cet atelier, un outil de grande qualité. Elle date de la fin des années 1800 et pèse 1 tonne et demi. Initialement, elle a été commandée puis installée à l’académie des Beaux-Arts de Bruxelles. Elle a ensuite migré chez un imprimeur du centre de Bruxelles avant d’appartenir à Sep Broes, professeur de gravure à l’école « le 75 ». Au début des années 2000, celui-ci l’a revendue à Vero Vandegh, son élève.
© photos – Gérard Gobert